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MONIQUE VOIRET

Vit et travaille près de Lyon. 
 
Etudie à l’école des Beaux Arts de Lyon de 1981 à 1986, après une expérience d’enseignement dans le secondaire, une licence d’histoire de l’art en 1981 et une formation de mathématiques à l’université Claude Bernard de Lyon jusqu’en 1978, année de l’obtention de la maîtrise.
Obtention du DNSEP en 1986
 
Poursuit sa formation artistique par un Mastère Numérique à  l'ERBA de Rennes en 1996-1997
 
Elle participe à partir de 1986 à des expositions d’arts plastiques en France ou parfois à l’étranger et pendant plusieurs années à des consultations d’interventions en art public où ses œuvres prennent tout leur sens dans un dialogue ouvert avec le contexte environnemental, architectural et historique des lieux concernés.
Dès 1991, à l’occasion de l’étude en vue de la réalisation de l’oeuvre monumentale «l’onde» à Villefontaine, elle trouve dans l’outil informatique un “atelier virtuel” propre au développement de ses recherches.
Puis, elle conçoit des installations souvent à dimension architecturale qui implique l’interactivité du spectateur où le texte, l’image, la lumière sont utilisés en ce qu’ils rendent compte d’un lieu ou d’une réalité de notre société. Ceci lui permet de passer d’oeuvres monumentales à des interventions in situ toujours en dialogue avec l’espace dans lequel l’oeuvre s’inscrit et les utilisateurs du lieu.
Ce qui lui a permis de développer des rapports privilégiés avec certains architectes et de leur proposer des créations pour les espaces qu’ils réalisent.
Elle a travaillé, entre autres, en collaboration avec l’agence parisienne d’architecture AMB de M. Beauvais pour le volet artistique et signalétique de la réhabilitation du centre hospitalier de Lyon-Bron. Actuellement elle travaille avec Archidentaire dirigé par l’architecte Daniel Jacquet pour la personnalisation artistique d’espaces d’accueil de cabinets médicaux.
«Je suis une artiste plasticienne gardant toujours une vision de photographe et j’aime intégrer une échelle architecturale dans mes installations. J’utilise les outils des nouvelles technologies pour la conception de mes œuvres, et je les crée avec des supports souvent très simples comme le bois, le verre, le métal, le tissu d’un vêtement ou l’encadrement d’une porte, d’une fenêtre ...
Après plusieurs années de travail à l’échelle architecturale pour l’espace urbain, je reviens parfois  vers une notion de lieu intérieur, plus privé, dans les limites d’un cadre que je définis...
Je cherche toujours à créer un dialogue différent avec le spectateur, où il reste acteur dans la lecture de ma proposition même s’il doit ouvrir une porte ou entrouvrir une fenêtre...»